Crédit: La misère des villes 23 septembre 2014 par Mirline PIERRE On dit qu’elle n’était pas belle. Non pas belle. Mais je l’aimais quand même. Parce qu’elle est mienne. Je la sens encore dans l’air que je respire. Dans le vent qui flotte au loin. Dans les yeux de chacun des résidents qui habitent ce lieu de désespoir. 12 janvier 2010 misère séisme tremblement de terre ville